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CPA 38 - Carte postale ancienne Isère - Grenoble, Hôtel de ville

CPA 38 - Carte postale ancienne Isère - la Terrasse - Hôtel des quatre fontaines

CPA 38 - Les plaines de l’Isère sur les cartes postales anciennes

Les plaines de l’Isère

Il y a fort longtemps des glaciers ont sculpté de larges vallées à fond plat dans desquelles serpentent les rivières Isère et Drac. Parmi ces vallées, on citera la luxuriante vallée du Grésivaudan, aussi appelée la vallée aux cent châteaux, qui doit sa richesse, entre autres, à la fertilité de ses sols d'alluvions qui permettait à la fois la culture de la vigne, des fruitiers et des céréales. Quant aux châteaux (notons l’article sur le château de Vizille), d'ailleurs bien représentés sur les cartes postales anciennes, ils sont les vestiges d'un passé agité où le royaume de France et d'Italie se disputaient la région. Un bon nombre, cependant, ne sont que de belles demeures bourgeoises installées là par de riches propriétaires séduits par la douceur relative du climat et par la beauté des paysages.

Isère

Isère - Grenoble, Hôtel de ville

Isère - La Terrasse - Hôtel des quatre fontaines

Isère - Pontcharra - château du Chevalier Bayard

Saint-Antoine l'Abbaye

Savez-vous que Saint-Antoine l'Abbaye, petit village du nord-ouest de l'Isère près de Saint-Marcellin, est la maison-mère de l'ordre religieux des Hospitaliers! Les Hospitaliers étaient une confrérie qui alliait la vie religieuse des ordres monastiques à la fonction hospitalière de Saint-Antoine. Cet ordre rayonnait jusqu'aux confins du monde arabo-andalou. Les jardins de ces Hospitaliers servaient à l'élaboration de remèdes. Au XVème siècle, une rose, qui fut rapportée par les croisés, embaume déjà les jardins de St-Antoine l'Abbaye. Célébrée par les poètes pour sa beauté, comme reine des fleurs, elle est alors surtout cultivée à des fins médicinales en vertu de ses propriétés calmantes et émollientes. Il s'agit de la rose de Damescena (rose de Damas en Syrie) croisement entre la rose phénicienne, venant du proche-orient, et la rose Gallica originaire de la Mésopotamie et de la Palestine.

Carte postale ancienne de l’Isère - Saint-Antoine l’Abbaye - Sacristie de l’Abbaye

Ancienne carte postale de l’Isère - Saint-Antoine l’Abbaye - Porte de Lyon et Basilique

Les origines de Grenoble.

La première citée, qui s'installa sur les alluvions accumulées par le Drac, s’appelait CULARO. Cularo fut habitée par une tribu Gauloise des Allobroges dont le territoire était situé entre l'Isère, le Rhône et les Alpes du Nord. Après la conquête de la région par les Romains, ces derniers fondèrent GRATIANOPOLIS qui devint de Grenoble, à partir de l’an 381. Grenoble allait devenir la plus grande ville des Alpes Européennes. L'Isère et le Drac ont façonné la plaine grenobloise. Au XIVème et XVème siècle, suite à des inondations, le voisinage des deux rivières était une menace. L'histoire du développement de la ville sera marquée par la lutte de la cité contre les deux rivières. Après l'inondation de 1740, le poète Grenoblois François Blanc (dit Blanc La Goutte) écrivait : « Grenoble tu es perdue, le monstre t'engloutit, malavisés furent ceux qui si bas te bâtirent »

Grenoble est la ville des ponts, franchissant l'Isère ou le Drac. On pourrait citer: • Le Pont suspendu, • Le Pont Saint Laurent, • Le Pont d'Esclangon, • Le Pont de la Porte de France, • Le Pont de Chartreuse (récent), • La Passerelle de Meylan (récent) Au XVII siècle, vint la Ganterie qui fut la plus vieille industrie de Grenoble. Ce métier demandait du goût et de l'adresse. Les gants en peau de chevreau étaient réputés dans le monde entier. Plus récemment, la houille blanche, mise en application de la découverte d'Aristide Bergès (1833-1904), fit évoluer l'économie de la ville vers la métallurgie. Métallurgie dont l’objet était de fabriquer des tubes en acier pour l'appareillage électrique des centrales hydro-électriques.

Isère - Grenoble - Pont des Sablons

Isère - Grenoble - Panorama des quais et les Alpes

Isère - Grenoble - pont de l’Ile-Verte - chaîne des Alpes

Isère - Grenoble - Le pont du Drac et la chaine des Alpes

Environs de Grenoble - vue sur la Tronche et la Chaine des Alpes

Grenoble - Pont suspendu et Sainte-Marie d’en Haut

CPA 38 - Les plaines de l’Isère sur

les cartes postales anciennes

Les plaines de l’Isère

Isère - Grenoble, Hôtel de ville

Isère - La Terrasse - Hôtel des quatre fontaines

Isère - Pontcharra - château du Chevalier Bayard

Saint-Antoine l'Abbaye

Savez-vous que Saint-Antoine l'Abbaye, petit village du nord-ouest de l'Isère près de Saint-Marcellin, est la maison-mère de l'ordre religieux des Hospitaliers. Les Hospitaliers étaient une confrérie qui alliait la vie religieuse des ordres monastiques à la fonction hospitalière de Saint-Antoine. Cet ordre rayonnait jusqu'aux confins du monde arabo-andalou. Les jardins de ces Hospitaliers servaient à l'élaboration de remèdes. Au XVème siècle, une rose, qui fut rapportée par les croisés, embaume déjà les jardins de St-Antoine l'Abbaye. Célébrée par les poètes pour sa beauté, comme reine des fleurs, elle est alors surtout cultivée à des fins médicinales en vertu de ses propriétés calmantes et émollientes. Il s'agit de la rose de Damescena (rose de Damas en Syrie) croisement entre la rose phénicienne, venant du proche-orient, et la rose Gallica originaire de la Mésopotamie et de la Palestine.

Carte postale ancienne de l’Isère - Saint-Antoine l’Abbaye - Sacristie de l’Abbaye

Ancienne carte postale de l’Isère - Saint-Antoine l’Abbaye - Porte de Lyon et Basilique

Grenoble est la ville des ponts franchissant l'Isère ou le Drac. On pourrait citer: • Le Pont suspendu, • Le Pont Saint Laurent, • Le Pont d'Esclangon, • Le Pont de la Porte de France, • Le Pont de Chartreuse (récent), • La Passerelle de Meylan (récent) Au XVII siècle, vint la Ganterie qui fut la plus vieille industrie de Grenoble. Ce métier demandait du goût et de l'adresse. Les gants en peau de chevreau étaient réputés dans le monde entier. Plus récemment, la houille blanche, mise en application de la découverte d' Aristide Bergès (1833-1904), fit évoluer l'économie de la ville vers la métallurgie. Métallurgie dont l’objet était de fabriquer des tubes en acier pour l'appareillage électrique des centrales hydro- électriques.

Les origines de Grenoble.

La première citée qui s'installa sur les alluvions accumulées par le Drac s’appelait CULARO. Cularo fut habitée par une tribu Gauloise des Allobroges dont le territoire était situé entre l'Isère, le Rhône et les Alpes du Nord. Après la conquête de la région par les Romains, ces derniers fondèrent GRATIANOPOLIS qui devint de Grenoble, à partir de l’an 381. Grenoble allait devenir la plus grande ville des Alpes Européennes. L'Isère et le Drac ont façonné la plaine grenobloise. Au XIVème et XVème siècle, suite aux inondations, le voisinage des deux rivières était une menace. L'histoire du développement de la ville sera marquée par la lutte de la cité contre les deux rivières. Après l'inondation de 1740, le poète Grenoblois François Blanc (dit Blanc La Goutte) écrivait : « Grenoble tu es perdue, le monstre t'engloutit, malavisés furent ceux qui si bas te bâtirent »

Isère - Grenoble - Pont des Sablons

Isère - Grenoble - Panorama des quais et les Alpes

Isère - Grenoble - pont de l’Ile- Verte - chaîne des Alpes

Isère - Grenoble - Le pont du Drac et la chaine des Alpes

Environs de Grenoble - vue sur la Tronche et la Chaine des Alpes

Grenoble - Pont suspendu et Sainte-Marie d’en Haut